Revue de presse de la cinquième journée

Mais qu’est-ce donc que la confiance ?

Pays des Olonnes, Challans et Luçon. Une défaite, celle du POB face au leader, et deux succès a l’extérieur pour Challans et Luçon, la vraie bonne surprise de la soirée. Une journée qui met neuf équipes sur la même ligne.

C’est déjà le regroupement dans le haut du tableau qui se scinde en deux, mais de façon très déséquilibrée. En effet, à l’exception d’Hagetmau et Pornic, en difficulté, les douze autres formations totalisent au moins deux succès. Et les Olonnais devraient en compter un de plus (soit 3) pour avoir offert la victoire aux Montois : Oui, un véritable cadeau qui débutait en fin de second quart-temps après un dernier panier de Mc Carver qui semblait mettre le POB en orbite de victoire (27-14, 18’) ... Avant que la confiance ne change de main et que le match ne bascule : 27- 21 à la mi-temps et 27-28,22’.

La confiance ! Celle qui ne rend pas les mains moites. au moment du shoot, celle qui oriente la réflexion vers le bon choix : la bonne passe, la bonne lecture, la bonne décision. La confiance, en opposition avec le manque de lucidité, de sérénité. Et pour Sébastien Cartier, ses hommes en manquèrent : « Oui, on leur donne les clés de l’espérance avant la pause. Et on leur donne la victoire à la fin. On prend un shoot à 8 secondes alors qu’on a le temps de shooter. On ne doit même pas shooter, mais garder la balle et obtenir une seconde prolongation. Au lieu de ça, on tire, on rate, et on commet une faute derrière ... » Philippe Carrière, l’entraîneur montais situait cette confiance ailleurs : « La confiance, je crois que nous l’avons construite tous ensemble en avant-saison en créant un esprit de groupe. Nous avons changé sept joueurs à l’intersaison et aujourd’hui, j’ai retenu l’option jeunesse. La ’confiance doit aller à cette jeunesse. »

De Brissac, Freddy Massé répondait à cette question : « Nous pratiquons un sport d’adresse extrême. La confiance, elle repose dans les mains du joueur à l’instant crucial du tir. C’est aussi celle qui doit circuler entre les joueurs, dans leur regard, dans leur comportement, notamment dans les défenses individuelles : croire en l’autre et en ’ses capacités. La confiance, c’est encore ce que nous avons vécu ce soir et durant toute la semaine entre les joueurs et un entraîneur. »

Et s’il est un homme qui caractérise parfaitement cette notion donc indispensable en basket-ball, c’est bien Laurent Hay, l’entraîneur luçonnais qui réalise encore une fois des prouesses avec un effectif annuellement revisité à 70 ou 80 %. Et son groupe a créé la sensation en allant s’imposer à Tours, le 2ème de la poule.

PAYS DES OLONNES - MONT-DE-MARSAN : 63-64 (ap) (14-h 1’3-10, 10-13,15-18, 11-12).

LES OLONNES : Tribodet, Pociukonis 15, K. Mourier, E. Mourier 5, Koffi 5, Frédéric, Boulin 3, M. Boutry 14, Mc Carver 15. Entraîneur : S. Cartier.

BRISSAC - CHALLANS : 79-84 (14-23,23-14,20-27,22-20).

CHALLANS : Dudit, Zapha 7, Geay 3, Toto Nkote 10, Ramphort 30, Chérasse 1, Ringstrom 14, Gouacide 8, Simmons 11, Brachet. Entraîneur : F. Massé.

P3L TOURS - LUÇON : 61-79 (16-15, 14-20, 16-25, 15-19).

LUÇON : Delourme 5, Barakaou 7, El Khdar 15, Baikoua 15, Papiyon 11, Grimaud 2, Retkus 4, Poupet, Mindaugas 6, Jeanville 14. Entraineur : L. Hay.

Tours - Luçon : 61-79 (OF du 20 octobre)

Sur la lancée de ses deux victoires précédentes, Luçon a rendu une copie très intéressante en déplacement. Les Vendéens ont d’abord été accrochés chez un promu au début de saison prometteur. Approximatifs défensivement, Delourme et ses coéquipiers subissaient la loi de Mauve et Battiston. Mais à l’opposé, Jeanville permettait aux siens de rester dans le coup, avec un tir primé et une action à trois points (11-9, 6’).

Le premier écart était tourangeau (14-9,8’), comblé dans la foulée par Luçon (14-15, 9’). Le mano à mano au tableau d’affichage commençait alors entre les deux formations. Allerme mettait le feu et Papiyon, très adroit, répondait au shoot (23-21, 15’).

. Avec deux ogives à trois points, El Khdar, excellent hier soir, donnait un peu d’air à son équipe juste avant la pause (30-35,20’). L’idée d’une montée en puissance se confirmait après le repos. Luçon obligeait son adversaire à beaucoup courir, et ça allait tout à coup trop vite pour les Tourangeaux. Les hommes d’Hay mettaient un petit éclat (32-40,24’), avant de s’envoler sous l’impulsion d’El Khdar, redoutable de loin et en ligne de fond (46-60,30’), comme Baikoua.

Ces deux-là auront brillé, l’intérieur Jeanville et son adresse étonnante à 3 points (3 sur 5) aussi. Mais c’est bien tout le collectif de Luçon qui est à mettre en lumière sur cette rencontre. En roue libre, l’équipe vendéenne a bien achevé le travail dans le quatrième quart, comptant jusqu’à près de trente points d’avance.

. Victoire référence sur la route et troisième succès consécutif. De quoi redonner le sourire après des débuts sur la pointe des pieds.

P3L TOURS - LUÇON : 61-79 (16-15, 14-20, 16-25, 15-19). Arbitres : MM. Buord et Seureau,

P3L TOURS : Battiston 12, Allerme 11, Crapez, Sulpice 5, Laout, Mauve 9, Morkeliunas 11, Ladine 2, Martin 7, Baykam 4. Entraineur : S. Duval.

LUÇON : Delourme 5, Barakaou 7, El Khdar 15, Baikoua 15, Papiyon 11, Grimaud 2, Retkus 4, Poupet, Mindaugas 6, Jeanville 14. Entraîneur : L. HAY.

Le néant avant la colère (La NR du 20 octobre)

P3L Tours - Luçon  : 61-79 Méconnaissable sur son parquet, le P3L n’a pas montré la réaction espérée. Pas vraiment du goût de son entraîneur… C’est ce qu’on appelle une soufflante. « Une grosse même », glisse Clément Allerme. L’explication de texte, signée Sébastien Duval, aura duré dix bonnes minutes.

Une fois le naufrage contre Luçon achevé (61-79), l’entraîneur du P3L a rapatrié tout son groupe vers le vestiaire pour quelques mises au point. « Oui, ça a beaucoup crié, confiait Duval après coup. On a le droit de perdre des matchs, mais pas de cette façon. Dans les intentions et l’attitude, on a complètement déjoué. Le collectif n’était pas loin du néant. Il y a énormément de regrets et beaucoup d’amertume, parce qu’on perd sans avoir joué. »

Sébastien Duval  : " Oui, ça a beaucoup crié "

Discours d’un coach frustré et impuissant sur son banc face à la piètre prestation de son équipe. Hier soir, le P3L aura fait illusion jusqu’à la pause (30-35, 20e). C’est déjà ça de pris, même si les mauvaises nouvelles n’avaient pas attendu le repos pour arriver. Baykam et Crapez étaient de retour hier, mais ils auront croisé Sulpice le temps de six minutes. Blessé en haut du pied après un mauvais appui, le meneur tourangeau est parti rapidement aux urgences pour connaître le verdict.

Bien sûr, l’absence du maître à jouer peut expliquer certaines limites affichées devant Luçon. Elle ne justifie pas l’absence totale de réaction du P3L au moment où les Vendéens ont pris leur envol. Les deux premiers quart-temps avaient donné le sentiment qu’un mano à mano pourrait s’installer toute la soirée (14-15, 9e puis 23-21, 15e). Ecran de fumée  : l’activité de Battiston, Mauve et Allerme en début de partie a précédé l’extinction des feux.

Absences inquiétantes en défense

En défense, notamment sur plusieurs basiques lignes de fond, les fondations se sont écroulées. El Khdar, Baikoua et Luçon se sont engouffrés dans la brèche (34-47, 25e). Malgré les cris de Baykam au bord du parquet, aucune rébellion dans le camp tourangeau, qui a compté jusqu’à près de trente points de retard…

Têtes baissées, regards dans le vide, Mauve et ses compagnons se sont vite éclipsés. Une soirée à oublier, sous le regard d’un gymnase Bialy plein comme jamais cette saison. « On a fait des cadeaux, des cadeaux et encore des cadeaux à l’adversaire, reprend Duval. Pour un entraîneur, ce genre de match est difficile à accepter. »

La fiche

Quart-temps  : 16-15, 14-20, 16-25, 15-19. Arbitres  : MM. Buord et Seureau. 651 spectateurs.

P3L Tours  : Battiston 12, Allerme 11, Crapez, Sulpice 5, Laout, Mauve 9, Morkeliunas 11, Ladine 2, Martin 7, Baykam 4. Ent.  : S. Duval.

Luçon  : Delourme 5, Barakaou 7, El Khdar 15, Baikoua 15, Papiyon 11, Grimaud 2, Retkus 4, Poupet, Mindaugas 6, Jeanville 14. Ent.  : L. Hay.

À chaud

Jean-Noël Martin (ailier du P3L)  : « On a été inhibés par rapport à la blessure d’Olivier (Sulpice). On n’a pas l’habitude qu’il ne joue pas, c’est notre moteur en défense. Après, l’adversaire a été adroit. De notre côté, on n’y arrivait pas entre nous. On a fait un non-match. On a surtout baissé la tête un peu trop facilement quand ils ont pris les devants. C’est dommage car la salle était bien remplie ce soir (hier), il y avait beaucoup de monde. »

Lionel Laout (ailier du P3L)  : « La réaction du coach à la fin du match, c’est normal. On n’était pas bien collectivement pendant cette rencontre. On perd Olivier (Sulpice), un de nos leaders, et on fait un mauvais match. C’était un jour sans, tout simplement. Il n’y a pas grand-chose d’autre à dire. »

Gaëtan Briard

Beaupuy - Pornic : 71-55

Les intérieurs des deux équipes se neutralisaient et c’est SALVIS qui se montrait le plus à l’aise en début de match. Ambrose concluait la période par un primé dans la dernière seconde (14-17). L’entrée en jeu de Mauline donnait du tonus aux locaux ; dès lors les mouvements des bleus s’enchainaient de mieux en mieux et une bonne séquence de Gana produisait un effet au tableau immédiatement (25-17, 13ème) puis 27-20 deux minutes plus tard.

Pinasseau de retour de blessure portait un surcroît de densité et avec Salvis plongeait les « red’s » à 10 longueurs à la 18ème minute (34-24), La confiance gagnait le clan des Marmandais. Trohel inscrivait 5 points en quelques secondes donnant ainsi, avant la pause, un matelas substantiel (41-2S, 20e).

Dos Santos ouvrait à 3 points dès la reprise ; Blondet puis Ambrose stoppaient cette rapide avancée des partenaires de Trohel, La réaction des visiteurs incitait les « bleus » à opter pour une défense de fer. J. Vachin n’était pas très heureux dans les rebonds offensifs. (56-44, 30e).

Les efforts entrepris par Verdan étaient payés de retour d’autant que l’adresse faisait merveille à 3 points. Les Joueurs de Ranson revenaient à 6 points à la 34e (61-55). La réaction des Marmandais était immédiate et l’application dans les transmissions redonnait un peu d’air (66-55, 36e), Le final ne changeait pas ; les derniers assauts des visiteurs étaient trop souvent entachés d’erreurs et de maladresses. Les locaux tenaient dur comme fer à leur première victoire sur leur parquet.

BEAUPUY - PORNIC : 71-55 (14-17,27-11,15-.16, 15-11). Arbitre : Bourette et Boudaud.

BEAUPUY : Salvis (23), Dos Santos (11), Radjouki (9), Trohel (9), Killeen (7), Gana (5), Mauline (4), Pinasseau (3), Duzan.

PORNIC : ’Ambrose (13), Coutin (12), Monpounga (11), Blondet(S), Verdan (6), J Vachin (5.), Gomez, Montout, A Vachin.

Brève

A la recherche d’une « gâchette » européenne pour renforcer leur équipe en difficulté en N2, les dirigeants pornicais ont apparemment déniché leur homme en la personne de l’international lithuanien Arvydas Cepulis (33 ans, 1 m97) qui évoluait dans son pays à la Juventus Utena, après être passé par la Pologne, Chypre, et la Roumanie. Cet ailier est annoncé comme un gros shooteur à trois points.

Brissac tombe avec les honneurs

Brissac - Challans : 79-84. Les Angevins auront fait parfois jeu égal face aux Vendéens, mais les visiteurs ont eu le dernier mot.

En faisant de suite valoir leur physique, les Vendéens mettaient les locaux sous l’éteignoir, Maleyran se retrouvait rapidement avec trois fautes et Ramphort trouvait la cible trop facilement permettant à son équipe de virer largement en tête à l’issue du premier quart (14-23). Dominés sous les paniers, les Brissacois pouvaient se réjouir de la sortie de Gouacide pour quatre fautes, et à partir de cet instant les coéquipiers de Maleyran retrouvaient leur adresse pour grignoter petit à petit leur retard par Macé et Devanne notamment pour revenir à égalité à la mi temps (37-37).

Au retour sur le parquet, Rathieuville et Toto Nkote rivalisaient d’adresse aux primés, mais Simmons faisait la loi dans la raquette, privant les Brissacois de munitions, et comme Ramphort continuait son récital, l’écart devenait conséquent pour atteindre sept points à la 30’(57-64). L’antisportive de Geay pouvait permettre à Brissac de revenir à deux longueurs au début du quatrième quart, mais Gouacide sorti du banc se chargeait de calmer les ardeurs des Angevins en scorant .à bon escient pour redonner aux siens une’ bonne marge de sécurité, et comme Ramphort avait toujours la main chaude, elle ne se réduisait pas. 79-84 à l’issue d’un match que les voisins vendéens avaient su mieux gérer dans les moments cruciaux.

Jean-Baptiste Macé reconnaissait la supériorité de l’adversaire : « On s’est fait marcher dessus dès le début, leur densité physique est telle que nous n’avons pas pu rivaliser dans I’ agressivité, même si après avoir modifié notre défense il ya eu du mieux, mais comme en plus nous n’avons pas été bons aux lancers-francs, il n’y a rien à redire », Julien Geay, le capitaine vendéen pouvait se réjouir : « Nous avons passé une semaine où les mots rigueur et agressivité ont été martelé par notre entraîneur. Nous avons su réagir après nos deux défaites, on connaît l’objectif, et ce soir on a enfin joué à l’extérieur comme une équipe qui a des ambitions ». • BRISSAC - CHALLANS : 79-84 (14-23, 23-14,20-2.7, 22-20).

BRISSAC : Rathieuville 18, Coubard, Maleyran 9, Penuisic.7, Gilbert 8, Macé 12, Devanne 9, Zekovic, Zoric 16, Vallois. Entraîneur : Christophe Henry.

CHALLANS : Dudit, Zapha 7, Geay 3, Toto Nkote 10, Ramphort 30, Chérasse 1, Ringstrom 14, Gouacide 8, Simmons 11, Brachet. Entraineur : Freddy Massé.

Quand on laisse la confiance se réinstaller

Pays des Olonnes - Mt de Marsan : 63-64. Malgré une très grosse défense, les Olonnais ont dû s’incliner après prolongation.

En optant une nouvelle fois pour de la rigueur, et de la très grosse rigueur défensive, le POB avait la clé du match probablement entre ses mains à condition de ne pas se relâcher prématurément et stupidement comme dans les quatre-vingt-dix secondes précédant le changement de camp durant lesquelles les Vendéens passaient de 27-16 à 27-21. ,

Et pourtant tout semblait leur sourire jusqu’à présent puisqu’avec cette agressivité défensive les Landais se montraient fébriles au moment du shoot (1er quart : 4 sur 12 et second 3 sur 13 dont deux dans ces fameuses 90 secondes) et que Brown, Samaké, Fernandez et Mas ne trouvaient pas le chemin du panier. Sous le cercle montois, les Olonnais dictaient la loi du plus fort (bien que les Stadistes mettent leurs œufs en défense aussi) de près (Boutry, Mc Carver) comme de loin (Erwan Mourier, Bernage, Mc Carver). Il ne fallait absolument pas laisser les Montois reprendre de la confiance.

Trop tard ! Puisque trois minutes plus tard, le score s’inversait : 27-28. La sérénité avait quitté les mains maritimes pour gagner celle- des Landais. Les raquettes demeuraient des places fortes mais l’étanchéité vendéenne n’était plus totale. À l’entame du dernier quart (37-34), rien n’était fait. Chaque ballon était l’objet d’une lutte sans merci. Chaque équipe forçait l’autre à la limite des 24 secondes et du tir tout autant forcé. Chaque panier recevait sa réponse de l’autre côté du terrain (37’ : 39-39 ; 35’ : 41-41 ; 37’ : 44-45 ; 39’ : 52-52). La prolongation était indispensable : 52-52 ! Les sept points offerts par les Olonnais quelques secondes avant la mi-temps pesaient de tout leur poids au décompte final. Défaite olonnaise à méditer et à revisionner.

POB - MONT DE MARSAN : 63-64 ap (14-11,13-10,10-13,15-18,11-12). Arbitres : MM Brernaud et Amdi.

LES OLONNES : Tribodet, Pociukonis 15, K Mourier, E. Mourier 5, Koffi 5, Frédéric, Boulin 3, M. Boutry 14, Mc Carver 15.

MONT DE MARSAN : Valverde 18, Dunoguier, Sayah 4, Tajan 24, Joie, Ruop 2, Brown 5, Samaké 2, Fernandez 5, Mas 4.

Pau Nord Est mord la poussière à domicile face à Angers (62-77)

Co-leader à l’aube de cette journée, Pau Nord-Est lâche du lest après sa seconde défaite de la saison à domicile, 62-77.

Ce samedi soir, les Palois ont débuté le match de façon trop peu intense (2-14, 4e ; 24-40, 18e) pour espérer mieux face à une équipe angevine sérieuse dans le sillage de son meneur ancien All Star, Ahmed Fellah. Relégués à 25 points au coeur de la seconde période (34-59), les Béarnais, en difficulté face à la défense de zone visiteuse, ont mieux terminé la soirée mais il était trop tard. « Les joueurs ont fait preuve de prétention. Je suis très déçu de leur attitude », a regretté Fred Fauthoux à l’issue du match.

ELAN PAU NORD EST 62

Ont joué : Monfort, Cape 22, Izuel, Rachou Pinault 7, Couzigou 3, Ilardia 12, Seguela 2, Pelos 15, Renaud 1. Entraîneur : Frédéric Fauthoux

ETOILE D’OR ANGERS 77

Ont joué : Mpoy 6, Fellah 14, Lonzieme, Crasnier 7, Bracq, Guirrou 11, Lazic 16, Rancon 2, Licouri 4, Meignan 17 Entraîneur : A. Hervy

A Pau (Centre de formation). Les quart-temps : 12-18 ; 17-22 ; 10-19 ; 23-18 Arbitres : MM. Malphettes et Cazenave. Spectateurs : environ 250. Sorti pour 5 fautes :Pelos (Pau,utes :Pelos (Pau)

Réagir à cet article - Levas - 20 octobre 2013