Présentation de la 15e journée
Ouest-France (13-01-12)
Une reprise avec des infirmeries garnies
N2M. La reprise du championnat intervient après des 64e de finale de Coupe de France positifs.
Le Pays des Olonnes à la Jalt Le Mans et Luçon a La Guyonnière : les deux Vendéens de N2M se sont qualifiés. Mais avec Ie retour au championnat, ces deux équipes vont devoir affronter des adversaires beaucoup plus coriaces. A commencer par Ie POB, qui accueille des Garonnais à la fois revanchards et ambitieux. Revanchards après leur défaite a domicile qui avait provoqué un changement de coach. « Depuis, ils ont aussi recruté un autre meneur », a noté Sébastien Cartier, I’entraîneur olonnais. Et ambitieux car la montée en N1 est toujours l’objectif annoncé. L’entraîneur vendéen s’attend à un match d’autant plus dur qu’aux blessures de fin d’année succèdent celles de début... « Tout Ie monde avait repris Ie 2 janvier. Malheureusement Erwan Mourier s’est blessé à une cheville lors d’une séance et pourrait être absent pour un long mois. Cette reprise en championnat face à un adversaire redoutable ne se fera pas de la meilleure des manières. II faudra que nous composions avec. Si nous avons 7 rencontres à domicile pour 5 déplacements, cela ne nous laisse pas d’autres alternatives que de vaincre. »
A Luçon aussi, I’infirmerie est visitée.
Notamment par Jean-Philippe Koffi qui ne devrait la quitter que début février. « Ce qui est Ie plus navrant c’est que ces blessures ne sont pas liées au basket... » Amadou Diagne et Boudjema Yaïci pourraient bien ne faire eux aussi leur retour que dans une semaine. C’est donc une formation diminuée qui fera Ie déplacement a Beyssac qui n’en finit pas de surprendre : « Leurs résultats sont étonnants et sans doute n’ont-ils pas fini d’étonner ... » Force d’admettre qu’avec huit succès a leur actif, les Tarn et Garonnais sont proches du maintien. « Nous, iI nous en faut encore 4 ... »
La 15e journée. Ce soir : La Rochelle - Saint-Clément-des-Baleines. Samedi a 20 h : Pays des Olonnes - Garonne Basket ; Beyssac - Luçon ; Dax - Carquefou ; Pau - Mont de Marsan ; Hagetmau -Brissac ; Pornic - Toulouges.
Sud-Ouest (14-01-12)
L’heure de confirmer
BBM - LUÇON Les Marmandais entendent débuter l’année par une victoire qui leur permettrait de rester en embuscade.
BB Marmande 5e/22pts Luçon 6e/21ptsLe groupe du BBM : Bruzac, Bras, Doumbia, Pinasseau, Vidal, Firmin, Pehoua, Mauline, Nekkache, Tisba. LIEU Beaupuy (salle des sports). ARBITRES MM. Belarbi et Martinez. HORAIRE Ce soir à 20heures. MATCH ALLER 59-71 pour Luçon.
Il ne fait aucun doute que ce soir, pour leur première production du millésime 2012 à domicile, les hommes de Christian Ortéga vont « mettre le paquet », comme l’on dit, pour confirmer la bonne impression acquise depuis le début du championnat.
Pour simple rappel à destination de quelques cerveaux que les fêtes de fin d’année et la longue trêve ont peut-être « embrumé », le BBM est toujours cinquième au classement, certes à portée de fusil de son adversaire du soir Luçon et Toulouges nantis d’un point de moins au classement, mais il est également embusqué, tout proche des formations qui le devancent. Dax-Gamarde et Garonne ASPTT sont à 1 point devant, Saint-Clement-des-Baleines et le leader La Rochelle guère très loin. La poule est dense et la lutte va continuer de faire rage !
Le maintien dans sa position très enviable passe évidemment par un succès ce soir contre les Vendéens qui sont loin d’être les premiers venus, il faut en convenir. Battus au match aller par une douzaine de points d’écart (71-59), les équipiers de Loïc Firmin ont la capacité de renverser la tendance ce soir et il est clair qu’ils vont s’y consacrer à fond !
Enfin au complet
Vainqueurs à Cahors la semaine passée dans le cadre du Trophée Coupe de France, les hommes du président Ludovic Ducos ont retrouvé leur effectif, à savoir Ahmed Doumbia, Junior Pehoua, Rémy Duzan. Nicolas Vidal, fameuse gâchette lors du dernier match, a soigné son genou, ce qui fait que tout l’arsenal est fin prêt. Ronald Mauline se rode quant à lui aux automatismes et parfait son retour à la compétition.
À bien y regarder, on se dit que l’équipe du BBM qui a eu l’immense mérite de battre Dax-Gamarde il y a un peu plus d’un mois, ne peut pas perdre ce soir sur son parquet. Mais un match ne ressemble jamais à un autre et il y a donc danger ce soir à héberger le temps d’une rencontre les Koffi, Diagne, Zoé et consorts même si la statistique prouve que cette formation-là est apparemment bien plus à l’aise dans son antre vendéenne qu’à l’extérieur. Jeune et accrocheuse, la rumeur fait d’elle une formation difficile à jouer.
Nul doute que pour cette reprise et à l’orée d’une deuxième partie de saison passionnante, Christian Ortéga et sa troupe auront le soutien inconditionnel d’un public reconquis, prêt à « pousser » avec ses favoris.
Michel Roussille
(La Rochelle bat St Clément 75 – 70 en match avancé de la 15e journée)
UB La Rochelle - USV Ré Basket : comment ne pas y résister…
À match exceptionnel, date exceptionnelle. Vendredi 13 janvier, à 20h, soit avec une journée d’avance sur les douze autres formations de la poule B de Nationale 2, l’Union Basket La Rochelle et l’USV Ré Basket s’affronteront sur le parquet de la salle Gaston-Neveur, sur l’Esplanade des parcs. Toute la Charente-Maritime en salive d’avance. Hasard du calendrier, le premier derby de l’histoire de la Nationale 2 entre l’USV Ré Basket et l’Union Basket La Rochelle est arrivé très tôt dans la saison, dès la 2e journée. À Ars-en-Ré, ce 24 septembre au soir, le promu rétais, défait pour ses grands débuts à ce niveau sept jours plus tôt, chute à nouveau (66-77). Encore en rodage, les deux équipes livrent un match peu spectaculaire. Côté rétais, manque à l’appel Dan Aultman, la recrue phare, blessée depuis la fin de l’été. Depuis ce face-à-face, de l’eau a coulé sous le pont. Vendredi 13 janvier, à 20h, le match retour entre l’Union Basket La Rochelle et l’USV Ré Basket promet du beau spectacle. À tous ceux qui hésiteraient encore à pousser les portes de la salle Gaston-Neveur, trois raisons inéluctables.
1. Pour l’affiche
Après 14 journées de championnat, Rochelais et Rétais caracolent en tête du classement. Le premier face à son dauphin : quelle meilleure affiche ? Pour l’Union Basket La Rochelle, rien de bien surprenant à ce statut de leader (25 points, 11 victoires et 3 défaites). Les hommes de Greg ¬Thiélin font figure de grands favoris pour la montée en Nationale 1. Pour autant, cette première moitié de championnat n’a pas été exempte d’approximations pour les Rochelais, la faute, notamment, à une préparation tronquée par les problèmes physiques et de tristes événements familiaux. “On n’a pas de vécu commun et on n’a pas de liant dans notre jeu”, déclarait, à l’issue de cette confrontation face aux Rétais, le technicien rochelais. Depuis, l’UBLR s’est bien reprise. Avec une moyenne de 62,3 points encaissés par rencontre, elle dispose de la meilleure défense de toute la Nationale 2.
Pour l’USV Ré Basket, ce statut de dauphin (24 points, 10 victoires et 4 défaites) est plus étonnant. “Il va falloir apprendre à perdre”, répétaient en chœur les dirigeants. Les Rétais, qui surfent sur une incroyable série de neuf succès consécutifs, ont fait un très grand pas vers le maintien, et semblent n’avoir plus peur de personne.
2. Pour l’ambiance
Les rencontres amicales de pré-saisons ne se comptent plus entre l’ex-Rupella et l’ex-USV Saint-Clement-des-Baleines. À Gaston-Neveur, l’antre des Rochelais, les tribunes étaient généralement bien garnies pour suivre, chaque mois d’août, ces duels sans enjeu. L’été dernier, les deux futurs adversaires en championnat n’ont pas dérogé à la règle du match amical. Jouée dans la salle d’Aytré, le vendredi 26 août, cette opposition a rassemblé des centaines de spectateurs, preuve de l’engouement suscité par les deux cylindrées de Nationale 2. Il y a fort à parier que ce vendredi, Gaston-Neveur (1 974 places assises) sera plein comme un œuf. En milieu de semaine dernière, un peu moins d’un millier de billets avaient trouvé acquéreurs dans la cité portuaire. Sur l’île de Ré, trois cent billets étaient mis en vente. Aux “Ici, ici, c’est La Rochelle” des supporters des bleu et blanc, devraient résonner les “Ici, ici, c’est l’île de Ré” des aficionados des violet et jaune.
3. Pour vérifier qu’un vendredi 13 porte chance
Patte de lapin, fer à cheval, trèfle à quatre feuilles, etc. À chacun son gri-gri, en ce vendredi 13 janvier, jour de derby entre l’UB La Rochelle et l’USV Ré Basket. Gilles Versier, lui, ne se dit guère superstitieux. “Quoi que, se ressaisit-il, j’ai mes petites habitudes, mes expressions…” Les chiffres, l’entraîneur rétais les affectionne pourtant, “surtout ceux ayant trait au collectif. Mais il y a des choses qui ne sont pas chiffrables et qui font gagner un match, à commencer par la vaillance et la défense”. Le capitaine rétais, Redouane Fergati, n’accorde que peu d’importance aux superstitions. Il n’empêche que rien ne doit venir perturber le rituel d’avant match. “Gilles nous parle dans le vestiaire, généralement trente-cinq minutes avant le match. Puis, nous avons nos habitudes d’échauffement. Une fois l’annonce des joueurs, on se réunit et je fais un petit discours.” Autre point, très important pour les joueurs : la rigolade.
“Mon rituel, c’est de chambrer mes coéquipiers pour détendre l’atmosphère, surtout Souleymane”, lance Mathieu Coussine. “On est vraiment décontracté et on ne se met aucune pression. C’est peut-être ça qui fait que ça fonctionne !”, ajoute Redouane Fergati. Ce qui est sûr, c’est que ce vendredi 13 janvier portera chance à l’une des deux équipes. Laquelle ? Réponse aux environs de 22h.
Par Emmanuel Legas le 13/01/2012 08:02:13
« Rien n’est fixé à l’avance »
Grégory Thiélin et Gilles Versier se connaissent sur le bout des doigts. Ce soir, ils seront simplement adversaires. Paroles d’amis.
Ces deux-là se connaissent par cœur. Il faut dire que l’aîné a coaché son adversaire du soir alors que celui-ci n’était encore qu’un minime, à Tours, et son élève en sélection régionale. Depuis, de l’eau a coulé sous le pont de l’île de Ré.
Et si Gilles Versier a connu de nombreuses aventures, entre ses succès à Blois, à Roanne et Cognac, pour ne citer que celles-ci, Grégory Thiélin, lui, n’est l’homme que de deux clubs, puisqu’après Poitiers, il n’est jamais reparti de La Rochelle.
Depuis l’an dernier, il est désormais voisin avec son ancien mentor, qui a fait monter Saint-Clement-des-Baleines - devenu depuis l’USV Ré Basket - en Nationale 2. Amis, les deux techniciens seront donc, pour la deuxième fois de la saison, adversaires ce soir. Un match qui ne constitue pas qu’une affaire de derby, puisque c’est le premier du championnat qui reçoit son dauphin.
« Sud Ouest ». Connaissez-vous tous les secrets de l’autre ?
Grégory Thiélin. Non, heureusement, car c’est souvent une partie de poker. Et car Gilles invente à chaque coup. Il est en perpétuelle évolution, capable de sortir un nouveau truc tout le temps.
Gilles Versier. Je ne sais pas… On parle basket là (rires) ? Non, on ne connaît pas tout, heureusement, même si ce ne sont pas des secrets. Je sais comment il pratique, comment il est travailleur, loyal et honnête.
Vous attendez-vous à une surprise technique de la part de votre vis-à-vis ?
G. V. Non, il va jouer de façon classique, avec des valeurs collectives, après nous avoir analysés, même s’il nous connaît par cœur.
G. T. Oui. On essaie de parer à toute éventualité. Mais Gilles a la caractéristique de varier ses défenses et de les adapter en fonction de chaque match.
Le professeur a-t-il inspiré l’élève ?
G. T. D’un point de vue basket, non, car j’ai eu un autre professeur en la personne de Pierre Vincent, à Poitiers. C’est lui qui m’a tout appris. Mais humainement, Gilles m’inspire. Il a connu des hauts et des bas, moi aussi, et on en discute. C’est quelqu’un qui a la qualité de parler avec le même respect au président de la République et au gardien de gymnase.
G. V. Je ne me suis jamais considéré comme son professeur. Je pense qu’il a beaucoup plus appris à Poitiers de Pierre Vincent. Il était trop jeune pour que mon travail l’influence. Mais au fur et à mesure que l’on se croise, nos visions sur le basket se rejoignent. Quand il a quitté Poitiers, il a su rebondir, réfléchir et faire le bilan. C’est un gros compétiteur.
Qu’est-ce qui vous rassemble ?
G. V. Les valeurs humaines qui font que l’on est amis et que je partage avec Gilles et avec sa femme Virginie. Quand on va dans leur maison, il y fait toujours bon vivre, on s’y sent toujours très bien.
G. T. C’est d’abord une histoire locale, car il est de Tours. On s’est connus là-bas, il connaît bien ma femme, ma belle-famille, avec qui il a fait sa formation. On s’était un peu perdue de vue, mais on s’apprécie, on vit de bons moments de convivialité.
Et qui vous oppose ?
G. T. D’un point de vue technique, pas mal de choses. Je déteste les défenses de zone, par exemple (rires). Mais ce ne sont que des questions techniques.
G. V. Je ne sais pas. L’âge peut-être (rires). Les circonstances font qu’il est beaucoup plus dans le professionnalisme que moi.
G. T. Gilles n’est pas plus vieux que moi dans ses actes. Il est toujours aussi jeune, même s’il est moins branché musicalement (rires).
Qui va gagner ce soir ?
G. V. Un club de Charente-Maritime.
G. T. C’est le point d’interrogation, avec ces deux belles équipes. Rien n’est fixé à l’avance, c’est ça l’intérêt.
Peut-on être ami et néanmoins adversaire avant un tel match au sommet ?
G. T. Oui, avant et après, c’est possible. Mais pendant, Gilles est un des plus redoutables adversaires. Il ne sera pas mon ami à ce moment-là. Je me souviens qu’en amical, il nous avait déjà sorti une zone presse alors que l’on n’avait rien préparé… Le jour du match, il n’y a pas d’ami.
G. V. Sans aucun problème. Tout cela ne nous empêche pas de nous téléphoner, on a le recul suffisant pour discuter sans parasite dans la conversation.
Pourriez-vous travailler ensemble ? Notamment dans une « super-union » maritime ?
G. V. Pourquoi pas ? À un moment donné, pour franchir un cap, il faut aussi voir l’intérêt général. D’autant que les clubs satellites peuvent y trouver leur compte.
G. T. Rien n’est impossible. On aime bien maîtriser, mais dans un rêve d’union entre les deux, l’important est que l’on a déjà confiance l’un dans l’autre.
Le salut par la défense
ELAN BÉARNAIS PAU NORD-EST - STADE MONTOIS, ce soir 20h au Centre de formation
Les Palois sont 12e, les Landais 8e, pourtant une seule victoire sépare les deux adversaires. « Notre situation n’est pas dramatique. C’est un match important mais pas capital », juge Ahmed Salam dont l’équipe n’a remporté qu’un seul match lors de ses six derniers de championnat. L’entraîneur palois se refuse à tirer des conclusions hâtives de cette mauvaise passe. « Attendons la fin février pour dresser un état des lieux objectif », dit-il. Si l’heure n’est pas à l’urgence quant au maintien, le championnat n’en est qu’au début de la phase retour. Les faux pas à domicile face à des formations qui naviguent sensiblement dans la même zone que les Palois, sont à éviter. Le match du soir en est la parfaite illustration. Une semaine après l’élimination 92-75 en Coupe de France chez le voisin tarbais (N3) porté par les 35 points de Ragauskas leur gâchette lituanienne, les Palois espèrent remettre la machine en ordre de marche. « L’objectif prioritaire si on veut gagner, c’est la défense, juge le coach. La défense, affirme-t-il, ce n’est pas que de la tactique, c’est aussi de l’envie, beaucoup d’envie. Physiquement, on n’est pas dépassé, mais c’est dans la tête que ça se joue. Pour espérer gagner, il ne faudra pas encaisser plus de 70 points ».
Pour les aider dans leur quête d’un sixième succès, les Palois enregistrent les retours de deux joueurs blessés de longue date, Julien Lasserre et Mike Seguy, « deux rotations non négligeables », note Salam. Enfin, ce dernier attend beaucoup de son leader offensif Romain Hillotte, absent à l’aller sur ses terres d’enfance quand Nord-Est s’était fait crucifier après prolongation.
"Il faut concrétiser... »
L’USA Toulouges est en déplacement aujourd’hui à Pornic en Loire-Atlantique. Invaincus depuis 3 matches, les Roussillonnais ne comptent pas faire le déplacement pour rien. Défaits lors de la phase aller par une équipe pornicaise pourtant incomplète. Le coach Laurent Kleefstra, lui, n’escompte pas revenir sans la victoire : "C’est en quelque sorte une revanche, ils avaient fait une bonne performance, il faut leur rendre la pareille. Nous devons faire une meilleure prestation qu’à l’aller". Mais l’ancien meneur de jeu sait aussi garder la tête froide : "Nous ne devons pas raisonner en terme de revanche, mais en terme de championnat. Gagner aujourd’hui nous permettrait de concrétiser notre série de 3 victoires consécutives et de nous installer dans une spirale positive". De plus, l’USAT verra aujourd’hui le retour sur les parquets de Florent Fizet qui n’était pas rentré en jeu la semaine dernière contre Tulle sur avis médical. Toulouges fait aussi le déplacement avec les jeunes Campos et Adjougnhiope qui auront l’occasion de grappiller du temps de jeu. A noter le renouvellement du capitanat de Mike Torondell qui "a parfaitement assuré l’intérim", selon Kleefstra.
Captain’ Torondell
Mike Torondell monte indéniablement en puissance dans l’effectif Toulougien. Capitaine samedi, il a été auteur d’une bonne performance avec 20 points marqués.
Comment expliquez-vous la performance de l’équipe samedi ?
C’était un match de reprise, donc c’était forcément compliqué. Il nous manquait aussi trois de nos quatre intérieurs, plus Chico (Cintract) et nous avons par conséquent manqué de taille. De plus nous avions accentué la préparation physique pendant la semaine pour préparer le match à Pornic de la semaine prochaine, nous avions peut-être un peu mal aux jambes... On a aussi manqué d’adresse, heureusement on a été plus fort physiquement dans le dernier quart.
Vous avez réalisé une bonne performance avec le capitanat...
Je suis content, tout s’est bien passé. Après, c’était un capitanat par défaut puisque ni Loïc (Riguidel), ni Aurélien (Cintract) n’étaient là. Mais je n’ai pas été plus décisif qu’un autre, tout le monde a apporté, même si c’est d’une autre façon. Moi j’ai apporté en marquant, Julien (Etes) en défendant.
Qu’avez-vous pensé de votre trio avec Williams et Cazenobe ?
Jérôme (Cazenobe) et Adam (Williams) ont évolué à leur score habituel. Il fallait juste quelqu’un pour remplacer les points de Loïc. Bien évidemment, j’essaierai de reproduire ce genre de performance en championnat contre une équipe de Nationale 2.
L’équipe sera-t-elle revancharde contre Pornic ?
Nous avions perdu chez nous, nous sommes donc forcément revanchards. Cette semaine sera décisive. Demain matin nous allons nous entraîner, puis nous partirons nous mettre au vert à la Caillère-St-Hilaire. Mais il est certain que nous devrons faire un effort défensif supplémentaire.